rocher

vive le rocher, grimper extension du rocher, pieds mains dictés par lui, gimpeur calque du caillou; et regarder tout change, se cache, se révèle selon l'heure, douces formes, ventre déesse mère, lames, blocs monolithiques, d'ombre en lumière se transformeent, évoquent, discourent.

discourir avec ce rocher, pas seulement lire

Suite zoupli zoupla

Bon je ne tiens pas à jeter le haro sur les touristes et autres citadins de tout poil.
Il est vrai que l'on est toujours tenté d'opposer rural et citadin.
Pour un meme espace, l'un et l'autre en ont des pratiques différentes.
Le premier en a une occupation millénaire, l'a façonné par son exploitation, agricole, pastorale, forestière. Il se l'est approprié légitimenent au cours des générations. Meme si actuellement il y a une déprise agricole qui fait que le paysage se modifie, se ferme, se perdent les traces des cultures, les champs, les parcs, les terrasses, le bati, bref ce qui quelque part faisait le charme de ce paysage.
Le deuxième débarque dans un espace rural, montagnard, et se l'approprie dès son arrivée, par la pratique consummériste qu'il en a, légitimé là par son manque de "nature" et peut-etre également par une pratique de la ville dans laquelle on reconnait des règles communes de fonctionnement que l'on reconnait pas à ce monde rural montagnard... : méconnaissance des usages, pratiques pouvant etre différents selon les saisons, méconnaissance des usages sociaux (enfin là leplus simple respect de la courtoisie et de lapolitesse évite de faire des bourdes :-) )
D'ou les conflits et l'incompréhension entre les deux.

Les pires : les résidents secondaires qui eux, pour la plupart, voudrait figer le lieu ou ils ont établi leur villégiature en un eden immobile faisant de toute économie, développement locaux.
Il n'y a pas que l'urbain qui est mouvements, évolution, développement, expansion constants.

Et les néoruraux dans tout ça ? Le cul entre deux chaises avec l'exaspération assez facile envers les citadins, oublieux qu'ils sont de leurs origines !

eau reprise

Je reprends mon commentaire mis sur le blog de Hannukaharry.overblog, parceque le thème est majeur là tout de suite, pour toute l'humanité et que nous sommesloin d'etre à l'abris des problèmes générés par le manque d'eau dans nos zones tempérées, déjà de nombreuses régions agricoles sont touchées et ici chez le problème st criant en ouvrant un tant soit peu les yeux.

eau : raréfaction, manque, agriculture en déprise, récoltes mauvaises, famines, difficultés sanitaires dues aus souillées, diarrhées, mortalité infantile;agriculture, sécheresse, érosion des sols cultivables, remontée du sel en zone saharienne, sub-saharienne, vents de sables en Afrique, Chine...donc sécheresse accrue.Irrigation, mauvaise irrigation à l'air libre, évaporation et perte d'eau.glaciers, fonte perte d'alimentation des bassin versants, des cours d'eau en aval désastre en aval pour les hommes, sécheresse....

Zoupli Zoupla c'est le printemps

Plaisirs de printemps
Tu sors de la maison
le soleil dans les verts tendres des petites feuilles toutes neuves des arbres, lumière qui rigole et qui te lave de tous les froids de l'hiver
en courant tu te laisse prendre dans ses vagues d'odeurs lumineuses
tout frais, tout qui pousse se multiplie, emporté grand surf sur cette mer

SPRALF les pieds emmelés dans ce con de chien qui en plus veut te mordre, Chrishtou ces touristes, c'est déjà la saison
Vive le printemps ! ;)

Himalaya

Parait que les 3 grands fleuves, Gange,Indus, Bramhapoutre riquent l'assèchement d'ici 50 ans, ceci du à la fonte des glaciers d'alimentation en Himalaya.Ils n'auront sans doute plus qu'un cours saisonnier lors de la mousson. Imaginons les conséquences sur le 2e pays le plus peuplé de la planète, en sachant que les émissions co2 ne font qu'augmenter et ne sont absolument pas maitrisées que ce soit dans les pays qui se développent ou dans les pays occidentaux, incapables de donner exemple, d'etre incitatifs.
Et pis tous nos gentils alpinistes vont perdre leur terrain de jeu himalayen !!

Evolution

Ici, depuis que je suis dans la vallée, la montagne change.
L'été, elle n'est plusbrillante, attirante, le gris domine, d(une tristesse angoissante par le sens qu'il prend.
La montagne perd ses habits froids, neige, glace rétrecissent, par endroit petites taches mates, misérables, rochers grisatre, poussière prennent la place.
Ce printemps, les cours d'eau sont bas, maigres, minces après cet hiver sec ou ici, ils ont tous couru après la neige.
La neige absente, puis présente mais haut, impossible à fabriquer en bas à coups de canon, trop chaud.
Et pourtant ils font comme de rien, plein de beaux projets de remontées, d'extensions, qui serviront à quoi ?

Débuts

C'est parti, pour la première.
Les actus des monts, ce qui s'y pense, ce qu'on y reve.
Il faut dire que je suis loin de tout ce traffic urbain, j'ai le temps de divaguer dans ma ruralité et aussi l'espace, les yeux vont loin dans le ciel et caressant les monts. Enfin aujourd'hui pas trop, des nuages et de l'eau.